Restaurant étoilé
Antibes Juan-Les-Pins
Ouvert du mercredi au dimanche, le restaurant étoilé de l’hôtel Belles Rives met à l’honneur poissons, crustacés et coquillages, travaillés avec autant de talent que d’imagination par le chef Aurélien Véquaud.
À ses côtés, le chef pâtissier Steve Moracchini s’attache à composer des symphonies de desserts follement créatives. En parfait duo, ils font de chaque repas un pur moment de gourmandise, un vrai voyage gastronomique méditerranéen.
Le restaurant La Passagère
un cadre d’exception pour une cuisine inspirée avec une vue à couper le souffle.
Entre sa terrasse à la vue exceptionnelle sur les îles du Lérins, et sa salle métamorphosée par une rénovation signée Olivier Antoine, « La Passagère » offre déjà une invitation à savourer son repas dans un cadre d’exception. La lumière y est reine, captée par les lustres, les miroirs, les grandes fenêtres vitrées.
Les grands lustres chromés magnifiquement restaurés, les fresques d’époque et le sol de mosaïques rappellent l’identité Art Déco du lieu, égayée par de belles pièces de céramique. À l’extérieur, le regard plonge vers un magnifique horizon aux couleurs changeantes.
Faire de chaque repas
une émotion étonnante et singulière
Du début à la fin du repas, l’alchimie entre plats et desserts est totale, le mot d’ordre celui de légèreté.
« La cuisine est avant tout faite d’amour, de partage et d’émotion, écrit le chef Aurélien Véquaud sur la carte de La Passagère. Mes équipes et moi-même mettons tout en œuvre afin que chaque repas, bien qu’éphémère, soit étonnant et singulier à la fois. » Cette promesse est tenue par une carte qui offre toujours de quoi surprendre et enchanter les convives. Imaginative, sophistiquée, la cuisine d’Aurélien Véquaud se veut aussi généreuse et sincère.
Le chef étoilé s’ancre dans les ressources locales pour en tirer le meilleur parti. Ayant grandi au bord de la côte atlantique, il maitrise à merveille les subtils accents iodés des produits de la mer. Y compris les moins connus : poissons typiques de la région – muge, liche, rouffe… -, algues et autres salicornes s’invitent également dans les assiettes.
Tout aussi créatif, le chef pâtissier Steve Moracchini imagine quant à lui des « myriades et étoiles » toujours différentes, mélanges de saveurs fruitées, sucrées mais aussi marines, aigres-douces…, sept à neuf bouchées de création pure, avant la toute dernière escale, aussi gourmande que spectaculaire : le café servi avec une tablette de chocolat noir infusée à l’huile essentielle d’immortelle et cassée devant soi dans la tasse.
